"Pas t'encore" comme disait l'autre dans "Le coeur a ses raisons."
Ça viendra...
Changer de pays représente d'énormes défis; et c'est encore plus difficile lorsque les gens nous ressemblent, nous avait-on prévenu lors des sessions d'information pré-posting.
Intéressant n'est-ce pas ? Oui, d'un point de vue sociologique...
"De quoi elle se plaint encore celle-là ?" Fatiguante avec ses récriminations la madame.
C'est difficile à expliquer, je vous suggère plutôt une image:
Un caméléon sur un tissus écossais, vous voyez le défi ??? Mission terriblement exigeante, vous êtes d'accord ? Épuisée la bête d'essayer...
Bref, on ne change pas de pays comme on change de chemise et on ne change pas de culture comme on change de voiture.
C'est complexe tout ça, presque intéressant non ? Ça se vit, ça se sent, ça ne s'explique pas.
Alors oui, la température permet de s'étendre près de la piscine ou d'aller à la plage, mais pas au-dessus de ses affaires la madame côté adaptation...
Chère Anne,
RépondreSupprimerJe comprends bien que tu sois face à des défis de taille.
Des défis sans doute différents de ce que l'Inde t'a proposé...
Peut-être que Sydney peut offrir ses propres antidotes au stress.
L'air y est plus respirable qu'à Delhi, la mer est à proximité, la végétation semble fort belle.
Pour moi, un large horizon, un ciel à perte de vue, des arbres qui tendent leurs bras vers le soleil et une petite brise me sont bénéfiques.
Le vent chasse les nuages encombrants des idées obsédantes, enfin pour un répit salutaire. Tu te demandes peut-être où je trouve cet antidote par ici, as-tu une idée?
Je t'embrasse.
Ta soeur, Marie
Allo Marie,
RépondreSupprimerLaisse-moi d'viner... Plaines d'Abraham, Lac Beauport, La Côte nord.
Toutes ces réponses sont bonnes non ?
Gros câlin,
Anne
Anne,
RépondreSupprimerTu as d'viné!
Plaines d'Abraham à portée de mains...
ou plutôt à portée de pas!
Avez-vous des plaines à Sydney?
Peut-être pas, mais vous avez l'étendue de la mer, ce qui n'est pas mal non plus, j'avoue.
Bises,
Marie