«Il est très difficile de trouver le bonheur en soi et il est impossible de le trouver ailleurs.»
– Nicolas Chamfort |
Être heureux est difficile. Très difficile. Oh, il est facile de l’être quand tout se passe plus ou moins comme on le veut, bien sûr… Ce bonheur de surface est aussi accessible que volatil. Mais apprendre à être profondément en paix avec soi-même et avec la vie – à trouver cette source intarissable de joie qui nous habite – est une des choses les plus ardues qui soient. Le monde extérieur nous propose tant de chatoyants substituts, tant de drogues et de distractions auxquels on peut être tenté de s’accrocher… Et il y a, bien sûr, cette partie de nous qui craint le bonheur comme la peste et qui préfère le garder à une distance sécuritaire, toujours un peu devant.
Ainsi, apprendre à être heureux, profondément et inconditionnellement heureux est difficile. Et il est extrêmement important d’en être conscient. Car si on s’attend à ce que ce soit facile, on interprétera la difficulté comme un signe que quelque chose ne tourne pas rond, ou que notre rêve est impossible. Et on aura probablement tendance à se décourager rapidement.
Donc oui, être heureux est un très, très grand défi. Et n’est-il pas incroyablement libérateur, même joyeux, de le réaliser? Car dès le moment où on le comprend, on a les deux pieds ancrés dans la réalité, et on est finalement prêt à avancer.
Ainsi, apprendre à être heureux, profondément et inconditionnellement heureux est difficile. Et il est extrêmement important d’en être conscient. Car si on s’attend à ce que ce soit facile, on interprétera la difficulté comme un signe que quelque chose ne tourne pas rond, ou que notre rêve est impossible. Et on aura probablement tendance à se décourager rapidement.
Donc oui, être heureux est un très, très grand défi. Et n’est-il pas incroyablement libérateur, même joyeux, de le réaliser? Car dès le moment où on le comprend, on a les deux pieds ancrés dans la réalité, et on est finalement prêt à avancer.
Cette lecture est bienfaisante avant d'aller au lit...
RépondreSupprimerC'est vrai qu'il nous arrive de trouver notre vie ordinaire, un peu moche...
Vite, observons nous, nous avons la santé, pas de malheur autour de nous,les gens que nous aimons sont heureux, nous sommes au chaud malgré la froidure extérieure, nous mangeons à notre faim, les Fêtes sont
proches, nous retrouverons des êtres aimés. Nos maisons sont belles,
accueillantes. Avec nos parents, des amis nous partagerons de succulents repas préparés avec joie, et dégusterons des vins exhaltants...
De quoi ai-je à me plaindre? Les journaux, les nouvelles nous montrent à répétition des gens comme nous qui connaissent et vivent la vraie misère... ces personnes ont le droit de trouver leur vie difficile, injuste, mais NOUS... Si je m'endors difficilement, ce ne sera pas à cause de mon malheur à moi.
Allo mamie,
SupprimerJ'ai fait une copie de cette pensée et l'ai mise sur le frigo.
Ça fait réfléchir...
J'ai de la difficulté parfois à vivre à Sydney, mais je regarde par exemple es nombreux chauffeurs de taxi qui viennent d'autres coins du monde et je pense aux échanges que j'ai avec eux à l'occasion... Ils ne se plaignent pas comme moi, ils gagnent difficilement leur vie
mais n'ont pas le temps ou le luxe de se demander comment ils vont eux...J'essaie de me garder ça en tête !
XXOO
Anne