Je cherchais des preuves, pas complètement folle la madame. Le soleil est autrement chaud ici je disais, il brûle. Je vous en ai parlé l'autre jour, mais je n'étais pas satisfaite de l'info que j'avais obtenue et partagée avec vous.
Cette fois ça y'est ! J'ai trouvé un peu de matière pour appuyer mes dires.
C'est vrai, même mon mari qui passe pour un italien, un indien ou un maori à cause de la couleur foncée de sa peau n'est pas à l'abri. Je l'ai bien examiné. Euh ! En passant,
vous connaissez les maoris ? Bon, voilà, ce sont des populations polynésiennes autochtones de Nouvelle-Zélande. Grâce à moi, vous vous coucherez ce soir un peu plus érudits, si ça se dit ! Je ne voulais pas dire un peu moins niaiseux, c'est moins beau.
Toujours est-il qu'à l'exposition au soleil (sans crème, ce qu'on ne fait pas... Ou plus...) rapidement notre peau devient plaquée rouge.
Je partage ce que j'ai trouvé sur Google
La quantité de rayonnements ultraviolets varie beaucoup plus sous les latitudes Nord que sous les latitudes Sud. La dose totale de rayons ultraviolets reçue s'accumule donc plus lentement ( c'est le cas chez vous, au Canada ).
En Australie, où les personnes sont beaucoup plus exposées aux rayonnements ultraviolets dès la petite enfance, le cancer de la peau est une maladie qui frappe souvent la catégorie des 20 à 30 ans.
La probabilité d'un cancer de la peau pour les Australiens est treize fois plus élevée que la moyenne des autres pays, en raison de l'exposition prolongée des habitants au soleil, selon une étude récente.
Le risque est accru par la proximité de l'Australie par rapport à l'Antarctique, où la couche d'ozone, qui filtre les rayons ultraviolets, est trouée. De plus, une majorité d'Australiens ont une peau souvent claire qui les rend plus sensibles aux ultraviolets. ( oh la la, jamais sans ma protection solaire quand même... )
Au printemps, au sud de l’Australie, des milliers de baigneurs se pressent sur les plages. Le trou dans l’ozone stratosphérique, qui apparaît chaque année au-dessus de l’Antarctique fait sentir ses effets sur une grande partie du pays. Toute personne qui séjourne en plein air est exposée à un rayonnement solaire plus intense, qui constitue une redoutable menace pour sa peau et ses yeux. Chaque jour, la télévision rappelle les dangers et montre sur un graphique l’intensité au sol du dangereux rayonnement ultraviolet B.
D’immenses étendues de l’hémisphère sud sont touchées par la déchirure dans la couche d’ozone, non seulement des grandes villes comme Sydney et Melbourne mais aussi la Nouvelle-Zélande, le sud de Chili et de l’Argentine. L’Australie détient le record mondial du nombre de cancers de la peau. A l’âge de 75 ans, deux Australiens sur trois de peau blanche doivent subir un traitement contre le cancer!
Allo Anne,
RépondreSupprimerImpressionnant ces statistiques ! Y fait pas beau souvent ici et à ce que je comprends c'est tant mieux ! Ils doivent vendre pas mal de crème solaire dans ton coin.
Aujourd'hui 16 degrés à Bromont ... on est en pleine semaine de relâche (même si on travaille pas mal toute la semaine) nous sommes allés à la montagne faire quelques descente et Daniel est passé à la pharmacie acheter de la crème solaire (de la 70) ... on est pas très brave ici face au soleil comme tu vois mais les Australiens devraient eux aussi se méfier un peu plus !
Est-ce qu'ils lisent un peu sur le sujet ou est-ce un sujet tabou ??? ... la liberté et le surf sur la plage ne doivent pas passer par la crème solaire ....
Bisou xoxo
Allo Lucie,
RépondreSupprimerOn parle beaucoup ici de protection solaire; j'ai vu sur les autobus une grande affiche; une magnifique journée ensoleillée, un jeune homme sur la plage... Et ça dit ceci:
" Journée parfaite pour un mélanome... "
Assez direct en effet.
Bon, Lucie, dis à ton "wonderful husband" qui achète de la protection solaire 70 à Bromont, d'acheter de la 1 500 si vous venez un jour à Sydney... Il a le sens de l'humour quand même ?
Bisou et bon week-end,
Anne