vendredi 21 janvier 2011

C'est un des dangers qui nous guette en Inde...

Le " wishful thinking "

ou " prendre ses désirs pour des réalités."


6 commentaires:

  1. Allo Anne !

    ...quand on a dix-neuf ans ça doit faire un petit velour des titres ronflants comme ceux-là ... mais j'imagine qu'il doit y avoir un peu de "tu as le titre ... tu fais le travail" plutôt que "tu veux le titre ...et bien fait le travail" ... différentes façons de voir les choses !!!
    Bisous

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  2. Allo Anne.

    Bien sûr, Renaud m'a tojours impressionné : c'est mon petit fils.

    Les Indiens ont une façon bien expéditive de reconnaître les compétences ! Leur processus est beaucoup moins tatillon que notre nomination des magistrats.

    On dit que l'avenir est à la Chine et à l'Inde.
    Mais que vont-ils faire de leur passé ?

    J'attends de voir. Je t'embrasse.

    Régis.

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  3. Allo Lucie
    Allo Régis,

    Renaud s'est fait une carte de presse, en Inde, c'est comme ça, y faut c'qui faut ! on dit " incredible India "non ?

    Pour ce qui est de la carte " assistant-producer ", et à le voir aller, répondre aux demandes +++, rencontrer les gens, préparer la présentation de la pièce de théâtre à New-York et éventuellement à Londres... Oh la la, je vous dirai qu' il mérite, certainement les galons !!!

    Daddy,
    Quand on dit que l'avenir est à la Chine et à l'Inde ?
    On parle de quelle sorte d'avenir ?
    Ça m'inquiète un peu...
    Et quand on parle d' avenir, on se donne combien de temps ?

    XXX
    Bonne journée


    Anne

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  4. Allo Anne,

    Je ne doute pas une seconde que Renaud mérite son titre d'assistant producer... Je l'ai bien remarquer lors du reportage télé avec G. Borne, il est entier, il est réfléchi, intelligent et je l'imagine très responsable et engagé ...
    Bisous

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  5. Allo Lucie,

    C'est certain que ici on voit tellement de gros indiens,( j'aurais pu dire enrobés, mais c'est trop faible comme mot ), fils à maman, gâtés et paresseux; allongés ou assis pour manger,eh bien on trouve qu'il y a écart...

    Bisou
    Anne

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