Les chiens sont aux aguets qui cherchent et trouvent leur pitance... Ça vous sort de c'qui reste de votre zone de confort... Ça vous remue l'intérieur... Je fais remarquer au gérant la présence des chiens près des braises, " no problem, better life " qu'il me répond. Il y a aussi 2 buffalos, " looking for flowers " qu'il me dit et je vois la grosse bête qui s'enligne sur les colliers de fleurs autour d'un corps tout juste sorti du Gange; la famille chasse la bête...
Les enfants, les lépreux, les sadous, les hommes qui n'ont pas de garçon, les femmes enceintes et ( j'oublie un groupe ), ne sont pas brûlés, mais jettés dans le Gange attachés à une pierre.
En avez-vous assez ?
À Varanasi (entre autre), à voir vivre certains "vivants", on envie presque les morts...
L'eau du Gange est épaisse, poisseuse, verte; les gens s'y baignent, lavent leur linge, prient... Ça donne des frissons. Certains attrapent des poissons qu'ils vendent, ( on me dit que c'est défendu de pêcher, mais c'est comme le reste , personne pour appliquer la loi ).
À Varanasi, il faut voir ce que la foi peut faire...
Allo Anne !
RépondreSupprimer... juste pas possible ... les crémations ok, les purifications ok, les chiens qui rôdent, pas sûre, les buffalos, pas sûre non plus ...Mais ce qui me dépasse ce sont ces corps qui "reposent" au fond du Gange avec au-dessus ceux qui font comme si de rien n'était ... INCREDIBLE !!!
Je comprends ta fragilité ...
Bisous
Allo Lucie,
RépondreSupprimerOui, il semble que la vie continue...
Pas besoin de te dire que les pêcheurs et leurs poissons ne me reviennent pas non plus...
Ce qu'on peut être différent sur une même planète...
Tu l'as dit: "INCREDIBLE", tout à fait !
XXX
Anne
Anne.
RépondreSupprimerTon repotage sur Varanasi est saisissant. J'ai l'habitude de chercher à m'égayer des étrangetés de tes blogues. L'à, je n'ai vraiment pas le coeur
à l'ouvrage. Je trouve néanmoins un intérêt extrême à ce que tu racontes.
Coeurs sensibles, s'abstenir.
À bientôt.
Régis.
Encore Anne.
RépondreSupprimerJe me demande à quoi rime la sorte de rituel suggéré sur la dernière photo de ton blogue.
Tu m'expliqueras, si tu lis mon commentaire tardif.
Je t'embrasse.
Régis.
Allo papa,
RépondreSupprimerLes trois hommes sont tout simplement chez le barbier. Un barbier à Varanasi, mais un simple barbier.
Bisou
Anne