Ladakh suite...

La première dame que j'ai rencontré dans les toilettes à mon arrivée à Ladakh.
On est parti de Delhi le samedi matin en retard pas mal, direction Ladakh. On s'était levé, genre à 4 hres du mat... Toujours le même problème à ce temps-ci de l'année , le brouillard... "Deep fog". Donc ce que j'ai compris, c'est qu'on sait quand on arrive à Ladakh , mais on ne sait jamais quand est-ce qu'on en sort... On devait quitter le mardi a.m. pour revenir à Delhi, non, pas possible. Mario lui a été bien inspiré et chanceux aussi. Il avait une réunion importante; le P.M. Jean Charest vient en Inde ; donc il ne voulait pas prendre de chance, il a devancé son départ, le lundi a.m. L'avion a décollé.

En ce qui nous concerne, un brin captifs à Ladakh, même le mercredi matin, c'était pas certain du tout qu'on puisse sauter dans l'avion. J'en avais assez ! C'est beau Ladakh, mais y' a d'autres belles places comme disait notre ami Denis. Moi, aller en voyage et être malade ça ne me dit rien du tout. Quand même je suis très heureuse d'avoir vu cette partie de l'Inde avec ces superbes montagnes et gens super sympathiques.

Tout est relatif donc, j'ai jamais eu aussi hâte de revenir à Delhi !
Vous verrez que l'architecture est très différente de ce qu'on voit à Delhi. ( Peut-on parler d'architecture à Delhi ? ) Je m'informe et vous revient... Ladakh est près de la Chine et les gens ressemblent plus aux Chinois qu'aux Indiens.
Notre arrivée à Ladakh.
La " Zambonie "
L'endroit idéal pour les moines !
Notre amie Marie est venue avec nous; sa présence a été des plus réconfortante.
Ces "drapeaux" derrière Jeanne sont des prières, il y en a partout dans la ville .
Le lavage du linge; grosse journée.
Les générations.
Je sais, la question sur toutes les lèvres: " Est-ce que Mario a scoré ? " La réponse de Mario: " Je jouais à la défense"...

Tout est gelé, donc ce sont les toilettes... L'hiver est long ( 6 mois cette année, me disait une dame, il a commencé à neiger tôt. ) et les maisons ne sont pas confortables comme chez nous croyez-moi; mais les gens sont tout de même relativement souriants... C'est ce qu'ils connaissent.

Il y a à Ladakh et environs, des problèmes qui ressemblent à ceux des Inuit et autres peuples dans le grand nord chez nous ; alcoolisme, suicide.

J' vous l'ai dit, et je le répète: " Y'en aura pas d' facile !!!
Il y avait du monde, partout. Une estrade s'est même effondrée, pas de blessé. Cette journée était spéciale, 2 équipes locales et populaires s'affrontaient .
Les enfants ont aimé aller à Ladakh et ils n'étaient pas très déçus que l'avion ne décolle pas le mardi...

Jérôme à l'arrivée à Ladakh.

Ladakh, magnifique ! Mais dur sur le système mes amis !!!

Oh la la, quelle aventure. Plus jamais en ce qui me concerne. 3484 mètres au dessus du niveau de la mer, c'est haut, très haut. La madame en a bavé. Moi ce n'était pas le manque d'air, mais la pression sur le ciboulot et nausées. Je suis restée au lit une vingtaine d'heures; je ne valais pas cher et je n'étais pas la seule " pas bien ". Heureusement j'avais apporté 2 500 advil et autant de tylenol et suis revenue allégée. J'ai été populaire, c'était presque l'Halloween mes amis.

Quand même, mis à part le "physique" les paysages sont absolument majestueux. Les hommes sont allés jouer au hockey, personne de mort... Y'a un bon Dieu.

Bon, j'ai de la visite à la maison, trois amis, Marie, Manon et Gilles qui sont arrivés hier, après un périple en Inde débuté le 1 ier janvier; donc je profite de leur présence.

C'était un petit clin d'oeil mais je vous reviens avec d'autres photos, et la suite de l'aventure.

À bientôt.

Samedi matin, nous nous levons à 4 hres du mat. et partons , destination Ladakh.

J'ai pris un peu d'info pour vous sur Google, question de vous mettre au parfum...

[...] Le Ladakh est situé à l'extrême nord de l' Inde, dans l'Etat du Cachemire. Sa capitale, Leh, se perche à [...] ciel et terre, avec des villages qui vont nicher jusqu'à 6000 mètres d'altitude. [...] A l'époque de la route de la soie, le Ladakhétait un important carrefour de marchands. Il y eut des bisbilles avec le voisin et grand frère tibétain (le ladakhi est plus proche du tibétain que d'une quelconque langue parlée en Inde ) et d'autres encore avec ses frontaliers musulmans qui introduisirent l'islam dans une région fondamentalement bouddhiste lamaïste. [...] Englobant une partie du Karakoram et de l'Himalaya, le Ladakh se décline en versants montagneux ocre et gris (quand ils ne sont pas enneigés), et en larges couloirs verdoyants notamment sur les bords du fleuve Indus. Relent d'une Indebritannique, on y pratique le polo dans les villes (car on peut davantage y construire des terrains que dans les villages de montagnes), et le tir à l'arc. [...]

Évidemment je prendrai des photos que je partagerai avec vous. Éspérons d'abord que nous décollerons, pcq ces temps-ci le " fog " ce n'est pas une mince affaire ( c'est le cas de le dire ), de la purée de pois...

Un groupe du haut commissariat va jouer au hockey à tous les ans avec un groupe de "locaux" là-bas. Mais vous avez noté l'altitude ? Il faut prendre certaines précautions, je suis allée rencontrer le médecin et apportons avec nous un kit de premiers soins : tylenol, larmes artificielles, gouttes pour le nez et Mario ( qui va jouer au hockey ) doit prendre une médication étant donné cet exercice . On vit dangeureusement ??? On verra. Sport extrême ??? On verra.

Aussi, on doit éviter l'alcool et la caféine.

Je vous en reparle.

La bureaucratie ou comment sortir de ses gonds.

Vous connaissez Mario ? Calme quand même le monsieur ! Eh bien moi je le vois parfois un brin impatient, mon homme. Par exemple, tu t'achètes un satellite pour la télé, tu paies en personne, on te confirme que tout est réglé. T'es content, t'arrives à la maison, on te rejoint, il manque 200 roupis ( pas tout à fait $ 5. ) oui, ça presse pour le paiement, on pourrait vous débrancher, il faut payer en personne et malheureusement c'est fermé demain..."C'est pcq t'alleur tu m'as dit que tout était réglé chose, ça t'tentait pas de r'garder comme faut ?"

C'est presque toujours ce genre de situation; tout à l'air beau et tout à coup une mauvaise nouvelle t'attend dans l'détour. Ça use le système nerveux, même celui de Mario..., moi qui ne pensais pas voir ça de mon vivant Mario qui s'énerve. Faut dire qu'on nous pousse un ti peu à boute, c'est ça le problème.

On entre dans un commerce, ils sont nombreux, on sait pas trop qui travaille là, qui prend le thé pis qui s'mêle pas de ses affaires... Ils te regardent, te fixent même ; ils sont d'un calme plat quand tu racontes ton problème même quand tu as de l'écume au bord des lèvres; c'est dur sur le latin en toi....

Le turban et la tenue vestimentaire .

Sans m'être informée encore, ça me gêne un peu..., mais en ayant observé pas mal, je pense pouvoir avancer sans risquer de me tromper que la couleur du turban " matche " ou fait un rappel d'un autre vêtement; parfois la cravate, ou la chemise.

Eh bien ce matin, oui, c'était le rose, rien de moins !

Le cordonnier chinois.

Mario voulait faire cirer une paire de souliers en cuir et suède qui avait besoin d'un léger rafraîchissement. Je suis allée m'informer ici chez ce cordonnier qui aurait fait un bon travail j' en suis certaine, mais il aurait fallu une semaine pour faire le travail et c'est plus que ce que Mario voulait, d'autant plus qu'il quittait le soir même pour le Bangalore et voulait ses souliers. J'ai demandé au cordonnier si je pouvais prendre une photo, il était flatté, a déposé ses verres et fait un beau sourire; en réalité c'est surtout sa chauffrette qui a attiré mon attention... Vous voyez par terre, tout à fait dans le chemin..., un BBQ mes amis... Genre apporte ton steak ( de chèvre )ou guimauves chez le cordonnier, on se grille un petit quelque chose. Pas possible !

D'ailleurs, en entrant j'étais davantage préoccupée par mon problème de cirage de souliers et j'avais bien vu la braise, sans trop analyser ( parfois je pense que je rêve, que j'ai la berlue )et quand j'ai demandé à prendre une photo, un client, assis m'a fait signe, tout naturellement de faire attention au feu.

Le chemin que j'emprunte lorque je vais faire l'épicerie.

La première fois ça surprend, la deuxième aussi et encore parfois... Sinon chaque fois en ce qui me concerne. Il ne faut pas faire l'effort de comprendre, on risque de se fatiguer. Si vous cherchez des ressemblances avec les supermarchés près de chez vous... bonne chance !

Donc j'entre par une petite porte et suis ce couloir, je monte cet escalier, toujours plus appétissant d'une fois à l'autre. Une fois rendue à l'épicerie il faut se munir de patience mes amis parce qu' on est à l'étroit " all right ". C'est quelque part un exercice d'abandon; il faut aimer son prochain et accepter les contacts, parfois intimes avec nos frères sur cette grande planète... règle no 2, selon moi, regarder les dates de péremption des produits, parce qu'on a de tout pour tous et depuis des années.

Il y a des produits partout, et qui couvrent une partie du plancher.

J'achète là, des oeufs ( malheureusement back order aujourd'hui ), du lait UHT , de la crème UHT ( j'trust pas la chaîne de froid ), du pain parfois, sucre, yogourt ( je dois truster la chaîne de froid...). Je sais il n'y a pas de logique mais bon. Ne posez pas trop de questions, encore une fois c'est comme ça.

Sarojini market.

À l'étroit, sur le bord de la clôture, une petite pause, dans l' activité du marché.
Sur le bord de la rue, achalandée merci, un p'tit somme.
Des fleurs à vendre pour offrandes.
Un " cooli " , ce sont des petits garçons qui transportent les achats.
On en balai un coup j'vous jure; on ramasse pas mais on balai.
Un " cooli " qui attend son tour. Ils sont nombreux...
Voyez, les carottes indiennes sont rouges.
Ici, un cordonnier qui attend les clients, besoin de lacets ?

L'Inde ne se résume pas à ça..., mais c'est une partie importante...

Vous voyez, ces t-shirts sont vendus en magasin; les parfums de l'Inde... Comme quoi je ne suis pas seule à avoir un bon odorat. Ça ne prend même pas un bon odorat, ça prend tout simplement un nez. Ausi bien en rire ??? Peut-être, mais j'espère que quelqu'un travaille sérieusement sur certains de ces dossiers, parce que à la longue ça agresse un peu ces odeurs.

Encore old Delhi...

Écoutez, il y aurait tant de choses à dire ou à essayer de comprendre ou les deux, concernant old Delhi... J'ai pensé vous montrer d'autres photos prises hier. Inutile d'élaborer; moi, après quelques heures dans old Delhi, je reste, le lendemain, presque sans bouger sur le campound canadien...Question de bien me retrouver et de refaire mes énergies. C'est presque trop pour la madame, une aventure dans old Delhi...

Aussi je vous présente nos amis, Denis et Marie, actuellement parmi nous à Delhi. Ils quittent demain pour quelques jours, question de poursuivre l'aventure en Inde et reviennent ici par la suite. À suivre...

Nous sommes allés dans old Delhi aujourd'hui, c'est quelque chose...Je vous jure.

Je ne vais pas souvent dans old Delhi, je ne serais pas capable, au quotidien de supporter tout ce qui s'y passe... Les photos donnent une petite idée seulement...Il faudrait décrire les bruits, les odeurs ( particulièrement en été ), l'atmosphère et l'activité; oui, Lucie, tu l'as dit, on se croirait au coeur d'un film... de Robin des bois ou quelque chose du genre; et justement, hier, j'avais l'impression que c'est moi qui ne devait pas être là, moi qu'on avait ramené dans le temps et que je dérangeais tout ce va et vient; des hommes, âgés souvent, comme sur ces photos, avec des poches lourdes sur les épaules, courbés; d'autres qui tirent des charettes de poches de je ne sais trop quoi... Je pense à la CSST ( la commission de la santé et de la sécurité au travail ) et je me dis que ce n'est pas possible...Tant de différences sur une même planète...Des extrêmes... Si c'est possible, j'essaierai peut-être de filmer tiens !
Ce sont des feuilles dans lesquelles on met un mélange de tabac et les gens chiquent et crachent.
On achète ici notre pâte dentifrice... C'est très vrai et les brosses à dents c'est autre chose...


C'est difficile à décrire, c'est un retour dans le temps, le moyen âge. C'est fatiguant, c'est une fourmillière.

Ici on prend le thé. Assis sur ses pieds et en groupe...

J'ai de la belle visite, j'en profite et ça me ré-énergise.

Vous comprenez que ça fait du bien à la madame ! Après six mois à Delhi, tricotés serrés tous les 5, avec des hauts et des bas...Nous avons actuellement avec nous, Marie et Denis, de bons amis de la région Ottawa-Gatineau et parents de jumeaux du même âge; ça se prend bien! C'est la première visite que nous avons, on en profite !

Quand même je ne vous oublie pas; nous irons peut-être ce matin dans old Delhi et je prendrai des photos, parce que dans old Delhi, je vous ai déjà démontré qu'il y a plein de photos "full" intéressantes à prendre.

À bientôt donc !

Tout le groupe ici on l' a trouvé raide...

Pas d'internet durant 2 jours et demie; l'enfer. Vous vous souvenez de mon ami ??? Oui oui, celui qui me demandait de le commanditer. Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé; je sais qu'on a fait un chèque en oubliant d'inscrire 42 sous. Non, on ne va pas en prison, mais c'est tout comme. Parce que l'Inde, sans internet, c'est d'être privé de sa liberté mes amis, on se sent un brin, un gros brin coupé du monde je vous jure.
Toujours est-il , que mon ami, ou un de ses amis ??? Nous a débranché . Plus d'internet mes vous autres tiens !
Maintenant pour se faire rebrancher, conseil d'ami, faites preuve de patience !!! Parce que c'est un exercice qui exige de l'individu en cause, une santé mentale hors du commun. Notre agent de voyage est qualifié et nous est venu en aide ( vous vous souvenez de l'agent Glad de la télévision ? En plus beau quand même...) quelqu'un sur qui on peut compter , Dieu merci! Il s'est rendu à la compagnie 2 fois et a probablement parlé au téléphone avec le 1.1 milliard d'Indiens je crois pour qu'on nous rebranche ( ça presse maudit câline... ). En quelle année sommes-nous encore ? Ah oui, merci ça me revient, en 1837, c'est bien ça ? Avant ou après Jésus-Christ ? Le service à la clientèle ici??? Voulez-vous vraiment qu'on en parle ? Dans mon livre à moi, on repassera... voulez-vous ?

Non mais où est l'erreur ??? Ça va pas ??? On a un problème ???

Ça dépasse l'entendement. Je reçois un appel hier et l'homme à l'autre bout du fil, qui me parle, a une façon dramatique de me dire à tout moment un « allo» ( les communications téléphoniques ici coupent souvent ) ça vous étonne ? donc un « allo » d'outre- tombe qui a comme effet de me m'inquiéter...C'est vrai, Renaud n'est pas revenu de son voyage, et nous, les parents, parfois on imagine le pire...
Bref, son anglais est mauvais, la communication est mauvaise, j'arrive à comprendre qu'il me parle d'un chèque et bla bla bla et bla bla bla. Je lui dis que j'arrive de vacance, je n'ai pas regardé tout le courrier , il doute ( are you sure ? ) encore sur ce ton mortuaire; bref, après quand même plusieurs tentatives de ma part pour le comprendre, je le réfère à mon agent de voyage; vous vous souvenez ? J'ai oublié de vous dire qu'il occupe d'autres rôles. Mais le «dude» rappelle aussitôt parce que Mario n'était pas à son bureau . J'ai dit à Jérôme répondre si il voulait mais de lui dire que je n'étais pas là; j'en avais assez de lui et ça pouvait attendre ( il me dérangeait alors que je travaillais mon blogue ) non mais quand même! On a le sens des priorités ou on l'a pas !
Jérôme passe un bon 15 minutes à essayer de comprendre ce dont il est question avec le même gars. (Je le laisse faire, il pratique son anglais)... Mais je finis par intervenir et dis au monsieur de parler en hindi au jardinier pour qu'on arrive à se comprendre.
Après deux jours et demi de communication ( j'exagère un peu ), je comprends que le chèque était sans provision. Ça vous est déjà arrivé à vous de faire un chèque sans provision ??? On ne va pas en prison pour ça ??? Peut-être ici, j'vais m'informer...
Donc je dis à mon ami que je règlerai tout ça demain sans faute et referrai un autre chèque.
Tout à coup il change de sujet, devient un peu pitou et je comprends que quelque chose l'inquiète. Sans trop comprendre, je le rassure en disant qu'il fait son travail et qu'il n'y a pas d'inquiétude à avoir , il fait ce qu'il a à faire etc etc.
Il me dit qu'il ne parle plus de tout ça maintenant , qu'il s'agit d'un autre sujet. Ah bon, il a changé de record le monsieur...
Can you help me ? I just want to go out of India. EEEE ça surprend; tu m'appelles chez nous là chose pour un problème de chèque et maintenant on change de sujet et là tu voudrais que je t'aide à sortir de l'Inde. Gros programme mon ami pour un mercredi après-midi 5 hres.
Deux petits détails:
On ne se connaît ni d'Eve ni d'Adam et on a eu pas mal de difficulté à s'entendre «talleur» si tu te souviens bien. Et
je ne sais pas à qui t'as parlé, mais r'garde ben, je ne travaille pas à l'immigration.
Ça te prends un visa mon ami pour aller te ballader à l'extérieur et c'est cher tout de même un visa.
Oui mais vous pouvez me commanditer qu'il me dit. Ben oui, passe donc après-midi j'va te commanditer. Oh j'allais oublier, une tarte au sucre avec ça ?
Je suis tombée sur le c... oui, sur le c...
Ça fait quelques heures de ça et vous avez deviné je suis encore sous le choc.
C'est vrai que si j'avais un bon coeur , si j'étais moins égoïste, j' pourrais commanditer 1.1 milliard d'individus et on pourrait fermer ça ici, le temps de faire un beau ménage. Aussi , par la même occasion, on reporterait les jeux du Commonwealth parce que ça a l'air que ça va pas ben dans c'dossier-là ...

En faisant une promenade à cheval à Phuket, j'ai vu pour la première fois des arbres à caoutchouc...

Ça fait un peu penser à la cabane à sucre quand on voit comment est cueilli le caoutchouc. En moins appétissant évidemment! Une partie de l'écorce est enlevée de l'arbre et cette substance blanche ( plus ou moins ) se dépose pour être cueillie et transformée. Je savais que le caoutchouc venait des arbres, quand même... Mais j'ai trouvé intéressant d'en apprendre plus et de voir une plantation.