Je tiens à vous souhaiter tout de même à tous, mes meilleurs voeux à l'occasion des Fêtes.
Bon c'est toujours la même histoire, nous quittons demain matin vers 6:00 hres et il reste des trucs à faire. Bof ! On va y arriver.
C'est la même chose chez vous avec la période des Fêtes pas vrai ? Jamais tout à fait prêt on dirait...
Renaud est arrivé ce matin, 15 hres en ligne assis dans l'avion c'est long paraît-il... J'imagine facilement. Je suis contente qu'il soit avec nous pour les Fêtes. Il est en forme.
Donc nous sortons de Sydney, nous allons dans l'état du Queensland, à Noosa, près de Brisbane. J'ai hâte. Nous partons une semaine, nous finirons la semaine, à dormir dans une tente dans un festival Folk, Woodford.
On nous annonce une température chaude et pluvieuse; c'est comme ça qu'on aime le camping pas vrai ?
De très joyeuses Fêtes et on se reparle de tout ça en 2012 ok.
XXX
jeudi 22 décembre 2011
mardi 20 décembre 2011
Je me demandais comme ça...
L'autre matin je me suis réveillée en me demandant si les australiens aimeraient mes cretons. Bon, c'est canadien les cretons et les australiens sont, comme plusieurs le disent d'eux-mêmes, des " food person ".
Je me dis comme ça, ça occuperait la madame de faire des cretons et c'est un peu de chez nous en Australie.
J'en parle à mon consul général de mari: " Penses-tu que les australiens aimeraient mes cretons ? "
" Non" qu'il me dit.
Je le trouve un peu expéditif dans sa réponse; je recommence un peu différemment : " Tu ne penses pas que les australiens aimeraient mes cretons ?
" Non".
Bon, je passe à autre chose.
Cette même journée, nous avions en soirée un party de Noël à la québécoise; bonne bouffe, belle gang.
Je vois cette dame arriver avec un plateau et elle nous offre des cretons. Je suis curieuse; je pose quelques questions.
Cette dame vit en Australie depuis 30 ans, elle fait et vend ses cretons. Ce qu'elle m'a dit aussi une fois qu'elle a su que nous formions un couple Mario et moi: " Ah c'est votre mari, lui aussi il aime mes cretons, tout à l'heure il m'a dit:
" Vous donnerez votre recette à ma femme "...
Ça a fait mal sur le coup.
Qu'il ne s'avise plus de me parler cretons celui-là; il ira les acheter chez l'autre madame !
Je me dis comme ça, ça occuperait la madame de faire des cretons et c'est un peu de chez nous en Australie.
J'en parle à mon consul général de mari: " Penses-tu que les australiens aimeraient mes cretons ? "
" Non" qu'il me dit.
Je le trouve un peu expéditif dans sa réponse; je recommence un peu différemment : " Tu ne penses pas que les australiens aimeraient mes cretons ?
" Non".
Bon, je passe à autre chose.
Cette même journée, nous avions en soirée un party de Noël à la québécoise; bonne bouffe, belle gang.
Je vois cette dame arriver avec un plateau et elle nous offre des cretons. Je suis curieuse; je pose quelques questions.
Cette dame vit en Australie depuis 30 ans, elle fait et vend ses cretons. Ce qu'elle m'a dit aussi une fois qu'elle a su que nous formions un couple Mario et moi: " Ah c'est votre mari, lui aussi il aime mes cretons, tout à l'heure il m'a dit:
" Vous donnerez votre recette à ma femme "...
Ça a fait mal sur le coup.
Qu'il ne s'avise plus de me parler cretons celui-là; il ira les acheter chez l'autre madame !
lundi 19 décembre 2011
Vivre à Sydney, un rêve qui perd de sa magie... ( Et ce n'est pas moi qui le dit... )
Article trouvé sur l'Internet, Cyberpresse,
Agence France-Presse
Sydney
Du soleil toute l'année, une économie dynamique, des plages au pied des immeubles: Sydney incarne à la perfection la ville qui fait rêver, mais sa croissance accélérée a jeté quelques ombres au tableau, avec des embouteillages monstres et des logements hors de prix.
Réputée pour ses commerces, sa vie culturelle, ses concerts, son énergie créative et ses universités, Sydney figure régulièrement dans le peloton de tête des dix villes les plus appréciées de la planète.
Déjeuner en terrasse dans le port de cette métropole au style de vie décontracté, face à son immense baie bercée par les alizés, donne en effet un avant-goût de paradis.
Cette réputation légendaire se trouve cependant aujourd'hui menacée par des infrastructures vieillissantes, les embouteillages, des prix de l'immobilier exorbitants et une explosion démographique.
«J'adore vivre ici. Sydney a vraiment beaucoup d'atouts...
«Mais j'ai assez voyagé pour affirmer qu'à de nombreux points de vue, Sydney n'est pas le meilleur endroit. C'est devenu très cher, les transports ne sont pas bons, et ça continue de se dégrader».
Avec 4,5 millions d'habitants, Sydney est la ville la plus peuplée du pays. Déjà à l'étroit, la population s'accroit plus rapidement que prévu et pourrait atteindre les 6 millions dans 25 ans, posant de sérieux défis aux urbanistes.
La ville en en fait deux visages: d'un côté ceux qui vivent bien, dans les quartiers les plus agréables; de l'autre, surtout à l'ouest, les habitants de banlieues défavorisées, au développement mal maîtrisé, avec un taux élevé de criminalité.
Ce sont eux qui doivent affronter les routes encombrées, les réseaux ferroviaires et de bus décrépits pour aller travailler.
Le Premier ministre travailliste, Julia Gillard, a reconnu récemment que «la vie (était) dure pour les familles à Sydney, un endroit très cher».
«Il y a eu un manque de courage et de vision», déclare Bernard Salt, démographe australien, soulignant que dans les années 1990, toutes les dépenses ont été consacrées aux Jeux olympiques de 2000 au détriment d'autres chantiers clés.
Les transports n'ont pas suivi l'essor de Sydney: les embouteillages sont légion, les bus, bondés et lents, et les trains, usés.
Autre priorité, le logement, car le prix moyen d'une maison à Sydney est désormais parmi les plus élevés au monde, rendant hors de portée la maison avec sa petite cour à l'arrière, dont beaucoup rêvent.
Mais en dépit de ces inconvénients, le pouvoir d'attraction de la ville australienne reste certain.
«Lorsqu'une ville grandit, c'est le signe que les gens sont attirés par son style de vie, même s'il y a des inconvénients», observe Rhonda Daniels, experte en urbanisme à l'université de Sydney.
John Latto, qui a fui le froid et la pluie de Belfast pour s'installer à Sydney, ne va pas la contredire. «Les gens se plaignent: c'est trop cher, on n'avance pas en voiture... Je ne prête pas attention à ce qu'ils disent», lance cet architecte paysagiste britannique de 31 ans, en enfilant sa combinaison pour surfer à Manly Beach. «Ça, c'est le paradis!»
Agence France-Presse
Sydney
Du soleil toute l'année, une économie dynamique, des plages au pied des immeubles: Sydney incarne à la perfection la ville qui fait rêver, mais sa croissance accélérée a jeté quelques ombres au tableau, avec des embouteillages monstres et des logements hors de prix.
Réputée pour ses commerces, sa vie culturelle, ses concerts, son énergie créative et ses universités, Sydney figure régulièrement dans le peloton de tête des dix villes les plus appréciées de la planète.
Déjeuner en terrasse dans le port de cette métropole au style de vie décontracté, face à son immense baie bercée par les alizés, donne en effet un avant-goût de paradis.
Cette réputation légendaire se trouve cependant aujourd'hui menacée par des infrastructures vieillissantes, les embouteillages, des prix de l'immobilier exorbitants et une explosion démographique.
«J'adore vivre ici. Sydney a vraiment beaucoup d'atouts...
«Mais j'ai assez voyagé pour affirmer qu'à de nombreux points de vue, Sydney n'est pas le meilleur endroit. C'est devenu très cher, les transports ne sont pas bons, et ça continue de se dégrader».
Avec 4,5 millions d'habitants, Sydney est la ville la plus peuplée du pays. Déjà à l'étroit, la population s'accroit plus rapidement que prévu et pourrait atteindre les 6 millions dans 25 ans, posant de sérieux défis aux urbanistes.
La ville en en fait deux visages: d'un côté ceux qui vivent bien, dans les quartiers les plus agréables; de l'autre, surtout à l'ouest, les habitants de banlieues défavorisées, au développement mal maîtrisé, avec un taux élevé de criminalité.
Ce sont eux qui doivent affronter les routes encombrées, les réseaux ferroviaires et de bus décrépits pour aller travailler.
Le Premier ministre travailliste, Julia Gillard, a reconnu récemment que «la vie (était) dure pour les familles à Sydney, un endroit très cher».
«Il y a eu un manque de courage et de vision», déclare Bernard Salt, démographe australien, soulignant que dans les années 1990, toutes les dépenses ont été consacrées aux Jeux olympiques de 2000 au détriment d'autres chantiers clés.
Les transports n'ont pas suivi l'essor de Sydney: les embouteillages sont légion, les bus, bondés et lents, et les trains, usés.
Autre priorité, le logement, car le prix moyen d'une maison à Sydney est désormais parmi les plus élevés au monde, rendant hors de portée la maison avec sa petite cour à l'arrière, dont beaucoup rêvent.
Mais en dépit de ces inconvénients, le pouvoir d'attraction de la ville australienne reste certain.
«Lorsqu'une ville grandit, c'est le signe que les gens sont attirés par son style de vie, même s'il y a des inconvénients», observe Rhonda Daniels, experte en urbanisme à l'université de Sydney.
John Latto, qui a fui le froid et la pluie de Belfast pour s'installer à Sydney, ne va pas la contredire. «Les gens se plaignent: c'est trop cher, on n'avance pas en voiture... Je ne prête pas attention à ce qu'ils disent», lance cet architecte paysagiste britannique de 31 ans, en enfilant sa combinaison pour surfer à Manly Beach. «Ça, c'est le paradis!»
dimanche 18 décembre 2011
Une belle promenade.
Quand il fait beau, c'est bleu; ciel et mer !
J'aurais aimé trouver des pêcheurs sur le bord des falaises, mais je n'ai pas eu de chance.
J'ai trouvé des oiseaux qui se la coulaient douce.
J'ai aussi trouvé deux Québécois, un frère et une soeur, assis sur un banc comme ça, tout juste comme je passais par là; super sympas. Ça fait toujours plaisir d'échanger un peu avec des gens de chez nous !
L'oiseau sur la première photo est un Koukabarra...le early bird
australien avec un chant à réveiller les morts.
( merci de l'info Jean-Pierre ).
vendredi 16 décembre 2011
L'Australie se dote enfin d'un congé parental rémunéré.
Début janvier 2011
La ministre de la Famille, a annoncé la mise en place d’un plan pour janvier 2011. Ce sera, pour beaucoup de parents, la première fois qu’ils pourront partir en congé rémunéré après la naissance de leur enfant.
L’Australie détenait un triste record, celui du seul pays de l’OCDE avec les Etats-Unis à ne pas offrir de congé parental rémunéré universel à ses employés. La principale conséquence pour les employeurs est qu'ils ont du mal à retenir les femmes au travail après la naissance d’un enfant, et cette tendance est d’autant plus marquée dans les postes d’encadrement.
Les Australiennes étaient très peu nombreuses à retourner au travail après la naissance d’un enfant... Les résultats d'un sondage montrèrent que le congé parental n'était pas le seul facteur qui encourageait le retour au travail mais qu'il s'agissait plutôt de l’ensemble des mesures prises pour concilier travail et famille qui était déterminant (horaires flexibles, garderies, etc.) et sur ce plan, l'Australie ne se place pas parmi les régimes les plus favorables.
( Une place en garderie coûte de $ 60. à $ 100. par jour par enfant... )
La commission nationale sur la productivité a donc fortement recommandé la mise en place d’un congé parental de 18 semaines, payé au salaire minimum pour commencer à réformer un système qui défavorisait les femmes contraintes ou fortement poussées à abandonner leurs postes après une naissance.
( Google )
La ministre de la Famille, a annoncé la mise en place d’un plan pour janvier 2011. Ce sera, pour beaucoup de parents, la première fois qu’ils pourront partir en congé rémunéré après la naissance de leur enfant.
L’Australie détenait un triste record, celui du seul pays de l’OCDE avec les Etats-Unis à ne pas offrir de congé parental rémunéré universel à ses employés. La principale conséquence pour les employeurs est qu'ils ont du mal à retenir les femmes au travail après la naissance d’un enfant, et cette tendance est d’autant plus marquée dans les postes d’encadrement.
Les Australiennes étaient très peu nombreuses à retourner au travail après la naissance d’un enfant... Les résultats d'un sondage montrèrent que le congé parental n'était pas le seul facteur qui encourageait le retour au travail mais qu'il s'agissait plutôt de l’ensemble des mesures prises pour concilier travail et famille qui était déterminant (horaires flexibles, garderies, etc.) et sur ce plan, l'Australie ne se place pas parmi les régimes les plus favorables.
( Une place en garderie coûte de $ 60. à $ 100. par jour par enfant... )
La commission nationale sur la productivité a donc fortement recommandé la mise en place d’un congé parental de 18 semaines, payé au salaire minimum pour commencer à réformer un système qui défavorisait les femmes contraintes ou fortement poussées à abandonner leurs postes après une naissance.
( Google )
mercredi 14 décembre 2011
Saumon de l'Atlantique en papilotte... Ça sonne bien...
La prochaine fois je m'informerai... De quoi elle est faite la papilotte ? Comestible ou pas la papilotte ? J'aime bien les nouveautés, en plus un peu gourmande la madame et sans ses verres avec ça...
Bon j'ai travaillé fort, un peu déçue de la texture de la papilote, manque de croquant la pâte philo... Tout de même j'arrive à me tailler une bouchée, une bonne... Papier parchemin...
Pas contente la madame et un brin gênée avec ça... Attention à la gourmandise à l'avenir, leçon de vie...
On ne m'a pas vu ou très peu... La discussion est entamée, le sujet est prenant. Je fais quoi ? Je quitte quelques instants ? Oh la la.
J'ai raconté ça à mon homme, lui il connaissait, il avait déjà vécu la papilotte papier parchemin, et il n'avait pas fait l'erreur... Moins gourmand que sa madame, le chanceux. On a ri un peu...
La prochaine fois j'aurai des choix à faire; peut-être que les verres seront nécessaires... La coquetterie a un prix.
Bon j'ai travaillé fort, un peu déçue de la texture de la papilote, manque de croquant la pâte philo... Tout de même j'arrive à me tailler une bouchée, une bonne... Papier parchemin...
Pas contente la madame et un brin gênée avec ça... Attention à la gourmandise à l'avenir, leçon de vie...
On ne m'a pas vu ou très peu... La discussion est entamée, le sujet est prenant. Je fais quoi ? Je quitte quelques instants ? Oh la la.
J'ai raconté ça à mon homme, lui il connaissait, il avait déjà vécu la papilotte papier parchemin, et il n'avait pas fait l'erreur... Moins gourmand que sa madame, le chanceux. On a ri un peu...
La prochaine fois j'aurai des choix à faire; peut-être que les verres seront nécessaires... La coquetterie a un prix.
mardi 13 décembre 2011
À la mode l'Australie ces jours-ci...
Nous vivons dans un "suburb" ( comme ils disent ) "intéressant" de Sydney, je l'ai déjà dit...
Hier, dans le journal, on nous annonçait que Bill Gates, le Bill Gates, venait passer ses vacances des Fêtes, cette année, ici, à Vaucluse, lui aussi...
Je lui souhaite du soleil à Bill gates et à sa famille, et on en profiterait aussi, par la même occasion.
lundi 12 décembre 2011
La semaine dernière...
Mario Ste-Marie et John Travolta se sont croisés dans le hall d'un hôtel à Sydney...
Et se sont reconnus...
Pas mal hein !
19 degrés peut-être, mais pluvieux est-ce que... Voyez vous-même...
Je vous ai parlé du fort sur le terrain ??? C'est bizarre non ? Et ça fonctionne, attention les marins.
Non, nous n'avons pas accès... 
dimanche 11 décembre 2011
Dimanche soir chez nous...
Sommes allés à un évènement de " street art" hier, à "Cockatoo island" je partage un peu avec vous... Intéressant comme expérience... Diversifiée comme clientèle...
lundi 5 décembre 2011
On ne vit pas en Australie sans sa charte à portée de main...
Oui, bien sur, la charte des droits et libertés de la personne est un incontournable, mais celle des araignées est très utile ici et derrière la porte de la cuisine.
Donc Jean-Pierre a, semble t-il, arrêté son choix sur "White tail"; la 4 ième dans la liste " deadly and dangerous ".
Donc Jean-Pierre a, semble t-il, arrêté son choix sur "White tail"; la 4 ième dans la liste " deadly and dangerous ".Voici un peu l'histoire qu'il me raconte....
En rentrant de voyage,à 3 heures du matin, il dépose ses valises près de l'entrée, manteau
dans le garde-robe....Au réveil vers 11.00 heures du matin,le lendemain, sa femme lui suggère de vérifier ses valises: " J'ai trouvé une araignée près du garde-robe ce
matin..." qu'elle lui dit.Il l'a trouve bien drôle.
Un peu plus tard, il descend à la cuisine et constate qu'il y a effectivement une araignée "captive"dans le petit plat en plastique bleu sur le comptoir.
Au premier coup d'oeil rien à voir avec une bébitte de
chez nous...Recherche internet rapide, et visite chez les experts, direction la
santé publique à l'Agence régionale, équipe de la santé/voyage et
environnementale...résultat 15 minutes plus tard c'est confirmé il
s'agit bien d'une "female white tail" adulte. Là on ne rie plus. Il apprend que "le monstre" se tient surtout dans le linge, vêtements,
serviettes, literie et autres. Son enquête l'amène à croire que la bestiole
se trouvait probablement dans son sac à dos..celui qu'il a transporté
toute la semaine... bien au chaud elle devait être... Dans son veston Kanuk,tout au fond
du sac...
Et , évidemment, en arrivant à 3 heures du matin à
l'aéroport d'Ottawa, Jean-Pierre était content de sortir son manteau de son sac à dos...
pour revenir en taxi.
Formateur vous dites les voyages ???
Peut-être, mais risqué aussi vous ne trouvez pas ???
La conclusion ? La bête préférait les plages...
" Canada is too cold ".
dimanche 4 décembre 2011
En retard dans les nouvelles la madame...
Bon, il y a eu Noël en fin de semaine; dinde, atocas, jambon et l'incontournable, ici, c'est-à-dire, saucisses sur le "barbie". On s'entend, Noël, sans la neige... Ça demande un exercice de visualisation... Comme si ça ne suffisait pas, il y a ce soir le "Formal". C'est comme le bal des finissants; ça n'en finit pas...
Dur dur sur la madame quelque part pas très festive pour ce genre d'occasion... Je fais de mon mieux... Folle folle la planète...
On est en 10 ième année ici... On y échappe pas... Bon, demain on passera à autre chose. Je change de sujet...
Je voulais vous parler de Jean-Pierre; il est retourné au Québec, après deux semaines passées à Sydney. Vous savez quoi ? Il a ramené avec lui une araignée et pas tout à fait inoffensive la bête...
Oh la la, qui veut avoir dans ses bagages une araignée qui peut causer des dommages ? "White tail" c'est son nom. À suivre...
mardi 29 novembre 2011
dimanche 27 novembre 2011
Rencontre intéressante...
Nos voisins de gauche sont super sympas; ils ont "d'énormes moyens" mais sont, quelque part simples et généreux... C'est possible !
Bref, ils nous ont invité dimanche midi pour un B.B.Q. Les australiens adorent les B.B.Q.
La journée était ensoleillée alors que le vendredi et samedi avaient été froids et mouillés.
Ils avaient invité un ami à eux, c'est le dentiste des stars ici; Nicole Kidman, Cate Blanchett, Russell Crowe, Tom Cruise... etc.
Je lui ai demandé: " Ça ne vous rend pas nerveux de travailler dans la bouche de ces gens-là" ? Il m'a dit non, c'est eux qui sont nerveux.
Différent comme rencontre, intéressant.
samedi 26 novembre 2011
Je vous ai parlé de Jean-Pierre qui est en ville...
Mais j'ai oublié un détail important...
Il m'a apporté des mots croisés. J'étais super ultra contente.
365 mots croisés pour la madame; des heures de plaisir.
Un voyage de deux semaines seulement en Australie cette fois-ci pour lui, c'est vite passé.
Il saute dans l'avion mardi matin; c'était une visite éclair, mais de bons moments passés ensemble.
Et qui sait si il n'y aura pas une prochaine fois...
jeudi 24 novembre 2011
Vous pensez que je fais ma fraîche sous le soleil australien... ( PRISE 2)
Pas t'encore ( PRISE 2 ).
Absent le soleil.
Sydney est sous la pluie depuis 3 bonnes journées, de bonnes ondées.
Bonne raison de ne pas faire sa fraîche.
Aussi le dossier "écoles" nous "tient aller"comme on dit...
Pour le moment, l'année scolaire est finie ici, oui, terminée depuis ce matin, bravo !
On essaie de "voir venir" l'autre...
Et retenez ceci;
On ne change pas de pays avec des ados comme on va se chercher une douzaine de beignes chez Tim Hortons, fourrés ou pas.
mardi 22 novembre 2011
Oui, enfin de la belle visite !
Jean-Pierre Allard est à Sydney, preuve à l'appui; et en pleine forme avec ça !
Il connaît mieux la ville que moi, ce n'est pas son premier voyage ici... Nous en profitons, nous passons de supers beaux moments à jaser et à marcher dans cette ville qui n'a rien de banale !
La végétation est incroyable, le jardin botanique magnifique.
Oui Jeannette, je te reviens avec une date, j'ai fait le message
à Jean-Pierre.
Je vous laisse, je saute dans le ferry pour aller rejoindre les 2 hommes au CBD ( central business district ).
Qui aurait cru... Jean-Pierre, Anne et Mario assis dans un Pub à Sydney...
A+
samedi 19 novembre 2011
Serge Dansereau, un chef qui a beaucoup beaucoup de succès ici.
C'est lui, le fameux chef qui est arrivé en Australie il y a 28 ans et qui a, disons-le, changé la cuisine australienne...
Gros mandat ! C'est réussi ! Je suis en train de lire son livre " Serge, for the love of good food. " Ça prend une santé, de la détermination, et je dirais que le "timing" y était aussi...
Son restaurant s'appelle " Bather's Pavilion ", le pavillon des baigneurs; c'était effectivement là que les gens se changeaient pour aller à la plage. Vous voyez la photo de la plage ? C'est la vue qu'on a du resto, la plage Balmoral... Vous décrire la beauté de l'endroit...
Et pour en remettre, l'autre jour, lorsque nous sommes allés prendre le lunch, deux couples d'amis, il y avait une sirène, au seins nus; une sirène de 16 -17 ans qui voulait faire plaisir à sa grosse barbotte en bermuda, camisole et casquette qui la photographiait... Un clip par ci, un clip par là; photos souvenirs ou façon de faire une piasse ??? On a perdu un peu l'attention de nos hommes... C'est pas grave.
Moi les sirènes, je n'y crois tout simplement pas... Et super le lunch !
mercredi 16 novembre 2011
Poules, veaux, vaches, cochons en liberté...
Toute une affaire ici le "Free range".
Dites-moi, elles sont heureuses les poules chez vous ???
Nous ici on travaille là-d'ssus; très préoccupés nous sommes, par le bonheur des poules... $ 6.99 la dizaine, oui, la dizaine... C'est pas cher pour des poules libres, émancipées et presque souriantes. Imaginez les omelettes que ça vous fait des poules détendues ? Très différent le goût, incomparable. Et pas mirés les oeufs; peut-être que ça stressait l'oeuf d'être miré pensez-vous ?
Écoute, seulement pour les oeufs, il faut venir en Australie...
Je ne vous parle pas des cochons " free range", je me suis laissée dire qu'ils dansaient.
lundi 14 novembre 2011
Une petite anecdote...
Renaud est à Montréal, aux études, depuis le début septembre et vivait du contenu de son sac à dos depuis, et donc en attente de ses boîtes en provenance de Delhi.
Enfin, il recevait finalement "la marchandise" deux semaines passées...
Quand il est arrivé aux douanes, pour récupérer ses trucs, il fallait prouver qu'il avait vécu 2 ans en Inde... Pas noté sur le passeport le temps passé là-bas... La douanière s'est absentée et est revenue; elle lui a demandé si il avait participé à une émission de télé. Rien de frais en mémoire, il réfléchissait à la drôle de question et finalement
elle lui a dit qu'elle l'avait vu avec sa famille à l'émission de Geneviève Borne, "Shanti" alors qu'on venait tout juste d'arriver à Delhi... Il a pu récupérer ses trucs.
Pas possible...
Un petit tour chez Cotsco...
On avait besoin de ça à l'approche des Fêtes. Ça ressemble à ce qu'on connaît, même recette... On parle ici aussi d'affluence...
J'ai trouvé les mêmes pacanes, mais à $18. le sac au lieu de $10. à Gatineau, c'est pas grave.
J'ai regardé les bijoux chez Cotsco, il y avait une bague à diamant à vendre, au prix de
$ 396 000 .00, je me m'attendais pas à ça... Comme quoi on peut s'éclater chez Cotsco.
vendredi 11 novembre 2011
Inscription à :
Articles (Atom)